MISSION :

Dans Guilty : Monaco 1955, plongez dans l’univers sombre et fascinant de la série de jeux qui réinvente le polar interactif !
Quelles pistes suivrez-vous dans ce labyrinthe de mensonges, de fausses pistes et de révélations choquantes ? Chaque carte que vous jouez vous rapproche de la vérité, mais aussi du danger. Dans ce jeu où chaque détail compte, il vous faudra assembler les pièces du puzzle tout en surveillant la montre. Car oui, votre temps est compté ! À chaque instant, le sablier de la justice s’écoule, et les choix que vous faites ont des conséquences irréversibles.
Serez-vous l’enquêteur méthodique qui suit les preuves jusqu’au bout, ou l’instinctif qui prend des risques calculés pour coincer le coupable ? Et attention, tout faux pas pourrait vous conduire dans une impasse, voire pire. Vous pourrez assumer les conséquences de vos choix… ou les regretter amèrement.
Éclairé par la lumière crue de la scène de crime ou enveloppé dans l’obscurité d’une ruelle mal famée, Guilty offre une expérience de jeu immersive qui vous tiendra en haleine jusqu’à l’ultime révélation. Chaque édition est un nouvel enjeu, une nouvelle histoire et une nouvelle opportunité de démontrer vos compétences en déduction.

MISSION :

9.00 PM. Le bar s’anime enfin. Coincée au pot d’anniversaire de votre collègue Terry, vous en êtes déjà à votre troisième bière, et la quatrième tournée arrive bientôt. Vous croquez machinalement ces cacahuètes rances. Peu importe leur goût : elles vous aident juste à oublier que la semaine dernière encore, vous passiez vos nerfs en grillant cigarette sur cigarette.
« Bordel, TD, surveille ton téléphone un peu ! » grogne Abraham, votre partenaire, en vous tendant son propre portable. Vous coincez l’appareil contre votre oreille et sortez pour éviter le brouhaha.
La nuit est inhabituellement froide, même pour un 15 décembre. La voix de votre commissaire est chargée de reproches :
« Ça fait une heure que j’essaie de vous joindre, Theodora.
— Je…
— Je m’en fous de vos excuses. Quelqu’un est mort. Vous voyez le sénateur Kowalski ? (Vous acquiescez dare-dare.) Le macchabée, c’est sa fille. Filez au centre pénitentiaire du comté. Le directeur vous attend. »